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dimanche, août 17, 2008
vendredi, août 01, 2008
CUBA Juillet 2008: LA HABANA
Un enchantement : la lumière sur le boulevard du Malecon qui me rappelle le " Bord " de Majunga ( Madagascar )
Tôt le matin fréquenté par des joggers, ce boulevard maritime se retrouve, le soir, baigné par les derniers rayons d' un majestueux coucher du soleil. Toute la journée, des pêcheurs ne résistent pas à la tentation d'y taquiner toutes sortes de poissons qu'ils ne sont pas peu fiers d'exhiber.
Notre hotel ( Presidente ) est situé à 200 m du Malecon.D'où la fréquentation assidue de ce boulevard.
Une déception: la gastronomie cubaine. Porc, poulet et fayots. Avec un zéro pointé pour les hotels " 4 étoiles " qui resservent invariablement les mêmes mets, jour après jour, au buffet.
Un ravissement: la vieille Havane avec les monuments, le Parquet central où des cubains discutent pour...discuter, les belles américaines, la calle Obispo rue touristique un peu bruyante, les somptueuses façades des bâtiments coloniaux. Par contre, très peu de grandes sculptures hormis les statues de José Marti et Calixto Garcia.
Un regret: ne pas avoir acheté la guitare à 45 euros de marque Compay Segundo à la boutique Arte cubano sur la Calle San Rafael.
Une découverte: le Musée national des Beaux-arts ( Calle Trocadero ) qui comporte trois étages où des tableaux des époques coloniale et moderne côtoient les oeuvres d'artistes contemporains comme Raul Martinez, Amelia Pelaez, René Portocarrierro ou Santiago Amada...
Une ( agréable ) surprise : le bar tapas Lava Dia sur le Malecon. Décor cosy, moderne. Les chaises sont munies de roulettes. Il est réservé exclusivement aux touristes puisqu'on ne paye qu'en peso convertible. On y sert des plats assez raffinés. Avec dextérité, le barman vous prépare un Daiquiri dosé au centilitre près. Ce soir-là, nous avions droit à la prestation d'un trio de musiciens ( deux guitaristes - dont une femme - et maracas ) qui avait chanté, entre autres, Quizas Quizas.
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CUBA Juillet 2008:CIENFUEGOS-MATANZAS
En effet, pour rejoindre Trinidad, on passe par Cienfuegos, ville de 185000 habitants, située sur la côte Sud. Cité portuaire construite au 19è siècle par des français, traversée de part et d'autre par une artère principale appellée "Le Prado "qui se prolonge par un Malecon longeant la baie, emprunté par calèches, side-cars,...
Un conseil: avant de quitter La Havane, renseignez-vous correctement sur l'itinéraire à emprunter. Les routes comportent très peu d'indications. Certes, il y a toujours un cubain sympa pour vous aider; néanmoins, nous avons mis une demi-heure avant de nous retrouver sur l'Autopista nationala ( l'autoroute qui mène à Cienfuegos ).
Matanzas, quatrième port cubain, est une ville industrielle située sur la route Varadero - La Havane. Nous n'avons fait que la traverser, faute de temps.
Un autre conseil: l'approvisionnement en essence est aléatoire. Nous avons attendu jusqu'à Matanzas avant de trouver une station approvisionnée.Donc, faites le nécessaire avant de quitter une ville.
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CUBA Juillet 2008:VARADERO
Après avoir fait La Havane-Trinidad (395 kms) et Trinidad-Varadero (300 kms), nous avons choisi de nous poser dans cette station balnéaire qui n'est pas représentative de Cuba même si cela ne ressemble pas ( encore ) à Playa del Carmen ( Mexique).
Sur le parcours Trinidad-Varadero, nous avons été surpris par des bourrasques de pluies qui fort heureusement n'ont duré que quelques minutes. Mais, gare à l'aquaplaning sur l'autoroute. Et à l'orientation à la sortie: nous nous étions perdus au point de nous retrouver dans de petits villages ( Betrancourt, Juovellanos, Cardenas ).
A Varadero, nous avons choisi un immense complexe, Arenas Doradas.
Au programme: Lever à 7heures30, jogging sur la plage où, surprise, les transats étaient déjà presque tous réservés. Breakfast.
Puis, la mer: 29°. Eaux Turquoise. Le sable: fin. Le soleil: chaud, chaud, chaud.
En prime: de superbes couchers de soleil sur la plage dont vous apprécierez quelques clichés pris par notre fille ( Nikon D40 Obt. 1/125 Ouv. f 5.6 Lg focale 18,00mm Vitesse ISO 280).
Au programme: Lever à 7heures30, jogging sur la plage où, surprise, les transats étaient déjà presque tous réservés. Breakfast.
Puis, la mer: 29°. Eaux Turquoise. Le sable: fin. Le soleil: chaud, chaud, chaud.
En prime: de superbes couchers de soleil sur la plage dont vous apprécierez quelques clichés pris par notre fille ( Nikon D40 Obt. 1/125 Ouv. f 5.6 Lg focale 18,00mm Vitesse ISO 280).
Selon la légende, Varadero était un ancien refuge de mafieux américains. Aujourd'hui, elle abrite sur 20 kilomètres de sable blanc des hotels plus ou moins prestigieux dans les zona touristica.Le centre-ville ne recèle rien de particulier. Nous sommes passés au centre commercial pour chercher une carte SD ( la mienne contenait déjà plus de 360 photos ). On nous en a proposé une ( de 2 Go ) à 90 Cuc ( soit 85 euros ! ). Coup bas?
Nous étions à Varadero le 26 juillet ( jour anniversaire de la conquête de Moncada par Fidel Castro en 1953 ). Là, ce 26 julio, aucune fiesta n'y était organisée. Alors, playa à volonté!
CUBA : Plongée à VARADERO
Peu de photos, faute d'appareil numérique. La meilleure période pour plonger à Cuba va de décembre à mars,. Nous y étions en Juilllet i.e durant la saison humide (climat semi tropical) allant de mai à octobre. Pas terrible.
Après deux semaines d'Assises, je ne sais pas pourquoi j'ai acheté Le dernier juré de John Grisham.
Un pitch assez banal: Lors de son procès, l' assassin d'une mère de famille menace de mort les jurés qui, malgré tout, le déclarent coupable. A sa sortie de prison, trois jurés se font tuer.
Mais comme vous le voyez sur mes photos, assez bonne visibilité ( 30m ), le materiel du club n'était pas désuet et le tarif était somme toute raisonnable (25 CUC la plongée).
La température de l'eau était de 26°C en moyenne ( un Vénézuélien avait plongé juste en short ). Je rappelle que la température extérieure va de 26°C (décembre à mars) jusqu'à 32°C en juillet août et que les ouragans y sont rares mais possibles entre août et novembre.
Un pitch assez banal: Lors de son procès, l' assassin d'une mère de famille menace de mort les jurés qui, malgré tout, le déclarent coupable. A sa sortie de prison, trois jurés se font tuer.
La procédure criminelle américaine est bien décrite, l'ambiance des années 70 dans le Sud ( ségrégation raciale ) ainsi que le fameux rêve américain ( réussite sociale d'un jeune jounaliste et d'une famille noire ) constituent l'arrière-plan du récit.
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CUBA Juillet 2008:TRINIDAD DEL MAR
Sur la carte routière que nous avons achetée à l'aéroport José Marti, la route Cienfuegos-Trinidad longe la mer des Caraïbes sans discontinuer. En réalité, on ne retrouvera la mer qu'une quinzaine de kilomètres avant Trinidad.
Sur la route, des policiers sont postés à peu près tous les vingt kilomètres. Nous n'avons jamais été contrôlés.
L'état des routes n'est pas aussi mauvais comme on aurait pu s'attendre. Y circulent avec plus ou moins d'attention - peur du gendarme ? - bus de touristes, camions russes, tracteurs emportant familles entières, vieilles voitures fumantes, calèches à chevaux,...Vous y croisez aussi plein d'autostoppeurs dont certains agitent des billets de peso pour tenter d'arrêter les véhicules.
L'arrivée à Trinidad s'est faite dans un décor diluvien. Une forte pluie venait de s'abattre sur la ville que nous traversions dans sa partie basse engorgée d'eaux. A la sortie, sur la gauche avant la station d'essence s'élève un florissant flamboyant et sur la droite, une immense pancarte à l'effigie de Fidel Castro porte une inscription " Patria o muerte ". Notre hotel se trouve à 10km plus loin, sur la péninsule d'Ancon. Son architecture est d'inspiration coloniale, à l'image de Trinidad. Avec une tour de vigie munie d' une horloge qui sonne réellement ( sauf la nuit évidemment ).Voici une photo prise à partir de la tour.Vous pouvez apercevoir au fond les montagnes de l'Escambray.
Playa Ancon est une grande plage publique où se retrouvent beaucoup de familles cubaines - qui n'ont pas droit aux transats de l'hotel et s'abritent sous les généreux feuillages d'arbustes ressemblant à des badamiers . Le club de plongée se trouve à l'Hotel Ancon sur la même plage. Nous avons effectué une plongée à 24mètres durant 49 minutes avec des français, des anglais, un cubain, un vénézuélien sans combi ( il faut dire que l'eau était à 28° ).
Les fonds maritimes cubains ne sont pas réputés pour leur beauté.Le spot de ce jour me l'a confirmé.Néanmoins, randonnée plaisante près d'un fabuleux tombant de plus de 80m.
CUBA Juillet 2008:TRINIDAD
Trinidad, ville coloniale anciennement prospère, créée en 1514 par le conquistador Diego Velasquez est dotée d' un centre historique pavé.
La prospérité initiale était due aux exploitations sucrières des grands propriétaires terriens et industriels espagnols mais aussi aux 12000 esclaves africains qui en assuraient la production.
N'ayant pas eu la possibilité de voir les maisons de maître des sucreries ( dont la légendaire tour de 45m de Manaca-Iznaga ), nous sommes restés dans le coeur de la ville où les rues pavées se creusent au centre pour laisser l'eau de pluie s'écouler comme dans une rigole. Astucieux.
Beaucoup s'accordent à dire que c'est la plus belle ville de Cuba. C'est vrai que les maisons couleur pastel ne manquent pas de charme et que les façades des palais coloniaux en imposent vraiment. Pour autant, j'avais l' impression malaisée d'être dans une ville touristique quelque peu banale en voyant les prix des articles dans les magasins. Aussi chers qu'à la Havane.En devant répondre aux ( aimables ) sollicitations de personnes réclamant du savon, un tee shirt..ou en découvrant des dizaines de personnes se ruer vers les autobus de touristes pour proposer des casa particular ou des randonnées vers les cascades environnantes. Malgré tout, flâner dans cette ville, c'est plonger dans l'Histoire. Dans son histoire.
Selon des historiens, la partie haute de la ville était déjà construite au XVIIè siècle. Arrivé sur la célèbre Plaza Mayor ( Grande Place ) qui a conservé son aspect début XIXè siècle, on est transporté dans une autre époque.
Ce jour-là, le ciel était bas et lourd comme chez Baudelaire. On ne pouvait qu'être de plus fort saisi par l'esthétique des lieux. Harmonie des couleurs et des sculptures ( comme la statue de Terpsychore, muse de la danse ou celle des lévriers en bronze ), palmiers imposants, belles demeures qui donnent sur la place...
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CUBA JUILLET 2008:TRINIDAD Randonnée
Le massif de l'Escambray offre aux sportifs de nombreuses occasions de randonnées pédestres ou équestres. Vous pouvez, par exemple, opter pour un parcours de 3heures afin de rejoindre la cascade de Caburni dans le parc naturel de Topes de Collantes, situé à 19 kilomètres au nord de Trinidad et qui couvre 12500 hectares de forêt où la guérilla castrite s'était illustrée face aux hommes de Batista.Nous avons choisi le sentier d'El Cubano pour aller à la cascade de Javira dont l'accès est situé à 5 kilomètres à l'ouest de Trinidad.Il est payant (6,50 Cuc qui donnent droit à une boisson fraîche au retour ).
Vous commencez la randonnée par la traversée d'un pont suspendu ( façon Koh-Lanta ).Le sentier, riche en pierre granitique, est bien balisé.Par endroits, glissant, il se rétrécit et il n'est pas agréable d'y croiser d'autres randonneurs; mais lorsque vous êtes en côte, c'est l'occasion de reprendre le souffle.Nous avons mis une bonne heure d'ascension à travers la forêt de fougères, de pins, d'eucalyptus. Accompagnés par les chants de multiples variétés d'oiseaux.
Des panneaux vous indiquent régulièrement la distance restant à parcourir pour arriver à la cascade dont vous percevez au loin le bouillonnement.Nous avions pris la précaution d'emporter chacun une bouteille d'eau car malgré l'ombrage fourni par les gigantesques palmiers et pins ou eucalyptus, on ne pouvait éviter les effets conjugués de la chaleur et de l'effort.
Arrivés à la cascade, nous avions eu la surprise d'y voir une colonie de jeunes cubains, venus en famille ou entre copains pour profiter de la fraicheur de l'eau.Car elle était fraiche. Mais si claire qu'on s'y était précipité pour se baigner et y reposer nos membres fourbus.En quelques brasses, j'avais atteint le point de chute de la cascade avec ma fille qui, quelques mètres plus loin, dans une grotte attenante, sursautait à la vue des occupantes des lieux: des chauves-souris.
Après une demi-heure de repos, il fallait entreprendre le retour.Les muscles durcis par l'eau froide, nous parvenions toutefois à redescendre rapidement car il fallait absolument rejoindre l'hotel pour rendre la chambre dans les délais.
CUBA: LA HAVANE
A la Havane, vous ne trouverez pas de bidonville comme au Caire, Calcutta ou à Lima. Mais, manifestement, la vie y est difficile. Pour preuve, l'indigence des étagères des magasins alimentaires. Pour autant, le peuple cubain est fier et ne manque pas de l'afficher.
Fier de sa Révolution dont il fête le 50ème anniversaire cette année. La Révolution a sa Place, son Musée, ses peintres,...
Fier de ses monuments dont El Capitolio ( Le Capitole), majestueux édifice recouvert de marbre avec une coupole haute de 94m, dressé au beau milieu de la vieille Havane. Construit pour être le siège de la Chambre des Représentants et du Sénat, Le Capitole a nécessité l'intervention de plus de 2000 ouvriers et artisans. De part et d'autre du grand escalier frontal, il y a deux statues de bronze hautes de 7m et pesant chacune 15T représentant le Travail et la Vertu Tutélaire du Peuple. Nous n'avons visité que le Salon Central situé juste sous la Coupole. On y trouve l'impressionnante statue de la République haute de 17,5m et pesant 50 tonnes.
Le peuple cubain est également fier de ses sportifs. Dans le quartier du Capitole se trouve une grande salle d'entraînement de boxe, sport dans lequel Cuba a excellé ( 27 médailles d’or au cours des sept derniers J.O ). En cette veille des J.O de Beijing, Fidel Castro a fustigé la désertion de certains sportifs. En effet, cette année, sept footballeurs de la sélection cubaine des moins de 23 ans ont choisi l'exil en Floride, après la désertion de deux boxeurs, d'un joueur de hand-ball et de l'entraîneur de gymnastique en plein jeux panaméricains de Rio de Janeiro.
Cuba a également produit de grands champions d' athlétisme: rappelez-vous de Javier Sotomayor, Ivan Pedroso, Anier Garcia, Ana Fidelia Quirot et Yipsi Moreno et suivez le parcours du nouveau prodige, Dayron Robles, recordman du monde en 110 m haies mais aussi celui de Yargelis Savigne, championne du monde de triple saut. Tous deux seront porte-drapeau des 48 cubains à Beijing.
Cette prospérité sportive cubaine a suscité des conventions de coopération quelque peu inhabituelles. En effet, Cuba a signé depuis son entrée en 1999 à l'ALADI, l'Association Latino-americaine d'Integration, plusieurs accords avec le Venezuela qui prévoient, entre autres, la fourniture de pétrole vénézuélien à prix négocié en échange de médecins et d'entraîneurs sportifs cubains.
Cette prospérité sportive cubaine a suscité des conventions de coopération quelque peu inhabituelles. En effet, Cuba a signé depuis son entrée en 1999 à l'ALADI, l'Association Latino-americaine d'Integration, plusieurs accords avec le Venezuela qui prévoient, entre autres, la fourniture de pétrole vénézuélien à prix négocié en échange de médecins et d'entraîneurs sportifs cubains.
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Noel à MAURICE et MADAGASCAR
Trou aux Biches est une plage très recherchée à Maurice en raison de la blondeur du sable, la sécurité des bains et les parfaites conditions de plongée (y compris en apnée dans le lagon et le long du récif corallien).
J'ai plongé sur le site d'aquarium avec Serge qui m'a filmé - je produirai ici le film lorsque je saurai le convertir. Moments inoubliables d'immersion dans une eau cristalline où nous avions rendez-vous avec poisons-cochers, raies électriques, concombres de mer, mérou, une escouade de poissons-sergents...
La campagne malgache aux environs de Tana resplendit en vert. Vert de rizières.
En Bleu. Non pas le bleu d'Eluard, mais celui du ciel des Ancêtres. En rouge. Rouge argilitique.
A Madagascar, les transports de personnes mais aussi de marchandises se font avec les taxis brousse dont les célèbres 404 Peugeot recyclés ( pont surélevé ). En zone urbaine, on peut aussi se déplacer à l'aide de calèches à chevaux.
A Madagascar, les transports de personnes mais aussi de marchandises se font avec les taxis brousse dont les célèbres 404 Peugeot recyclés ( pont surélevé ). En zone urbaine, on peut aussi se déplacer à l'aide de calèches à chevaux.
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Noel à MAURICE et MADAGASCAR
Plage de Grand Baie à 7hoo du matin.
Veille de Noel à Tana.
Panneau publicitaire sur la route Grand Baie-Port Louis.
L'Avenue de l'Indépendance d'Antananarivo
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